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Sylvie Retailleau

Sylvie Retailleau est une femme politique française qui est actuellement ministre de l’Enseignement supérieur dans le gouvernement du Borne depuis mai 2022.

Avant sa carrière politique, elle était physicienne et universitaire et présidente de l’Université de Paris-Saclay. Elle a publié des travaux sur une variété de sujets en physique de la matière condensée. Elle a aussi été reconnue pour son travail de promotion de l’égalité des genres dans les domaines scientifique et universitaire.

Wikipédia, biographie de Sylvie Retailleau

Origine

Sylvie Retailleau est originaire de Nice (Alpes-Maritimes), en France.

Après avoir étudié en classe préparatoire au lycée Dumont-d’Urville à Toulon, Sylvie Retailleau rejoint le département de l’EEA (Électronique, Électrotechnique et Automatique) de l’ENS Cachan (ENS Paris-Saclay depuis 2016), passe ensuite l’agrégation des sciences physiques (option physique appliquée) en 1988 puis obtient un doctorat en sciences à l’Université Paris-Sud en 1992.

Apparence physique, taille, âge de Sylvie Retailleau

Apparence physique de Sylvie Retailleau
Apparence physique de Sylvie Retailleau

Sylvie Retailleau taille

Sa taille est 1,64 mètre. Son poids s’élève à 57 kg.

Sylvie Retailleau âge

Sylvie Retailleau voit le jour le 24 février 1965. Elle est aujourd’hui âgée de 58 ans (en 2023). Son signe astrologique est Poissons.

Sylvie Retailleau apparence physique

Ses yeux sont châtains. La couleur des cheveux est marron sombre.

Famille, ethnicité et relations de Sylvie Retailleau

Famille – parents, frères et sœurs

Les informations concernant ses parents et ses frères et sœurs ne sont pas connues

Relation de Sylvie Retailleau : mari, épouse, compagnon, copain et enfants

Son statut marital n’est pas non plus connu.

Parcours professionnel

Chercheuse

Elle commence sa carrière en tant que chercheuse au sein de l’Institut d’électronique fondamentale (IEF) de Paris-Sud/CNRS et porte ses activités sur l’étude théorique de la physique des composants semi-conducteurs pour l’électronique avancée. Elle étudie les appareils d’hétérojonction IV-IV dans la technologie bi-polaire et à effet de champ.Ses inquiétudes concernent la modélisation des composants et dispositifs ultimes à effet de champ de l’électronique moléculaire et quantique (structures de nanotubes de carbone, structures de nanocristaux de silicium).

Depuis 2001, elle enseigne à l’Université Paris-Sud.
De 2007 à 2008, elle a été vice-présidente du département de physique de la Faculté des sciences d’Orsay, puis vice-doyenne en charge de la formation de 2008 à 2011.

En parallèle de ses activités, elle est directrice du pôle Microélectronique du Centre national pour la formation en micronanoélectronique (CNFM) entre 2004 et 2016, et siège au conseil d’administration de l’ENS Paris-Saclay à partir de 2013, au conseil d’école Télécom Paris à partir de 2014 et au conseil d’administration du lycée Blaise Pascal de la ville d’Orsay à partir de 2014.

Présidente de l’université Paris-Sud

De septembre 2011 à mai 2016, elle a été Doyenne de la Faculté des sciences et a été élue Présidente de l’Université Paris-Sud jusqu’en décembre 2018, date à laquelle elle devient la présidente de la ComUE Paris-Saclay devenue l’université Paris-Saclay en 2020 et dont elle est la première présidente avec « l’ambition de créer un modèle à la française ». Au terme de sa création, l’Université Paris-Saclay, groupée ou associée à quatre Grandes Écoles et sept organismes de recherche, totalisant 48 000 étudiants et 9 000 chercheurs et enseignants-chercheurs, se positionne à la 14e puis 13e place du classement de Shanghaï. Sur la mise en application de certaines mesures de la loi de programmation pour la recherche critiquées par les chercheurs, telles que les créations de postes précaires appelés « chaires professeur junior », un élu étudiant de Paris-Saclay explique que « quand elle est mise dos au mur, elle explique qu’elle n’appréciait pas ces atteintes au système universitaire. Elle affirme de façon très régulière qu’elle n’a pas le choix. »

Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Le 20 mai 2022, elle a été nommée ministre de l’éducation supérieure et de la recherche par Emmanuel Macron dans le gouvernement d’Elisabeth Borne. Parmi ses objectifs figure la réforme des bourses selon des critères sociaux, promise en 2017 mais que son prédécesseur Frédérique Vidal considérait comme « trop complexe » à mettre en œuvre.

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