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Apparence physique Karine Lacombe

Karine Lacombe est une chercheuse et infectiologue française, spécialiste du VIH, des hépatites et de la Covid-19. Elle est responsable de l’Hôpital pour maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine à Paris.

Wikipédia, biographie de Karine Lacombe

Origine

Karine Lacombe est originaire de Savoie, en France.

Dès l’âge de 4 ans, elle veut devenir médecin, fascinée par le Dr Fassy, le médecin de famille qui lui fait réfléchir, en grandissant, la médecine en tant que « le premier de tous les métiers ». Alpiniste chevronnée, elle est aussi ceinture noire de judo.

Elle achève ses premières années de médecine à l’Université Joseph-Fourier de Grenoble et elle a obtenu une maîtrise en santé publique, à l’époque un diplôme d’études avancées (DEA) qu’elle a validé en Afrique.

Apparence physique, taille, âge de Karine Lacombe

Apparence physique de Karine Lacombe
Apparence physique de Karine Lacombe

Karine Lacombe taille

On n’a pas d’information sur sa taille

Karine Lacombe âge

Elle est née le 30 mars 1970 – Bélier

Karine Lacombe apparence physique

Ses cheveux sont blonds et ses yeux sont marrons

Famille, ethnicité et relations de Karine Lacombe

Famille – parents, frères et sœurs

Elle appartient à une famille assez modeste. Son grand-père maternel, un républicain espagnol, vint travailler en Normandie pendant la guerre comme commis de ferme et y épousa. Sa mère est enseignante et son père, d’origine savoyarde, est employé de la papeterie.

Relation de Karine Lacombe : mari, épouse, compagnon, copain et enfants

Son statut marital n’est pas connu.

Carrière

Dès 1994, elle débute son stage à Paris. Elle prend un an de congé pour aller en Chine et en Inde, où elle travaille dans les centres de santé primaires. Elle intègre alors l’Université Pierre-et-Marie-Curie.

De 2002 à 2012, elle est bénévole pour Médecins du monde au Viêt Nam où elle monte le premier projet d’accès aux antirétroviraux pour les usagers de drogue et les travailleuses du sexe, puis en Afrique.

Pendant son stage à l’hôpital Saint-Antoine, Pierre-Marie Girard, chef de service dans cet hôpital, l’encourage à se lancer dans un cursus hospitalo-universitaire comportant l’obtention d’une thèse de sciences en plus de la thèse de médecine, et lui offre ainsi son soutien pour l’avancement d’une carrière hospitalo-universitaire. En 2006, elle a défendu sa thèse intitulée La co-infection HIV – hepatitis B chronique: déterminants de la fibrose hepatic et impact des traitements antiviralux sous la direction d’Alain-Jacques Valleron. La même année, elle devient experte à la National Agency for Research on AIDS and Viral Hepatitis (ANRS)

Praticienne hospitalière

En septembre 2007, elle a été nommée praticienne hospitalière à l’AP-HP de l’hôpital Saint-Antoine et chargée de cours à l’école de médecine de l’université Pierre-et-Marie-Curie, grâce au soutien de son chef de service.

En 2012, elle est devenue spécialiste à l’Organisation mondiale de la santé, puis à Unitaid en 2016. Elle est membre de la commission scientifique de l’ONUSIDA de 2013 à 2015.

Travaux sur l’hépatite C

De 2015 à 2017, Lacombe et son équipe ont mené des travaux de modélisation sur les répercussions du déploiement d’outils de dépistage de l’hépatite C « décentralisés » — réalisés à proximité des lieux de vie et non uniquement dans les grandes villes — au Cameroun, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. En 2016, elle a été invitée à prononcer un discours sur l’hépatite C à la Retrovirus and Opportunistic Infection Conference (CROI).

Cheffe de service hospitalier

En mai 2019, elle a été nommée directrice du département des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine à Paris, succédant au Pr Pierre-Marie Girard qui l’avait orienté vers une carrière hospitalo-universitaire et lui ayant offert un poste hospitalier le lui permettant (le succès d’une carrière hospitalo-universitaire étant le fait d’un chef de service déjà en place et qui a été sélectionné par le chef précédent qui sélectionne les médecins de son équipe et celui ou celle qui lui succédera). Elle est la première responsable féminine de maladies infectieuses dans un UHC PA-HP4.

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