Eugène François Vidocq était un criminel français devenu avocat en droit pénal, dont la vie a inspiré de nombreux écrivains, dont Victor Hugo, Edgar Allan Poe et Honoré de Balzac. L’ancien criminel est devenu le fondateur et le premier directeur de la National Crime Detection Security et le dirigeant de la première agence de détectives privés connue. Vidocq est réputé être le père de la criminologie moderne et de la police française. En outre, il est considéré comme le premier enquêteur privé.
Table des matières
Wikipédia, biographie d’Eugène François Vidocq
Origine
Eugène François Vidocq vient de Rue du Mirroir-de-Venise, en France.
Apparence physique, taille, âge d’Eugène François Vidocq
Eugène François Vidocq taille
On n’a pas d’information sur la taille d’Eugène François Vidocq
Eugène François Vidocq âge
Il est né dans la nuit du 23 au 24 juillet 1775
Eugène François Vidocq apparence physique
Il a les cheveux bouclés et les yeux marrons
Famille, ethnicité et relations d’Eugène François Vidocq
Famille – parents, frères et sœurs
Eugène François Vidocq est le troisième fils de Henriette Françoise Vidocq (nom de jeune fille Dion, 1744-1824) et de son époux, le boulanger Nicolas Joseph François Vidocq (1744-1799)
On connaît peu de choses au sujet de son enfance; la plupart sont basées sur son autobiographie écrite par des fantômes et sur certains documents des archives françaises. Son père était instruit et, à ce moment-là, très riche, car il était également marchand de maïs. Vidocq compte six frères et sœurs : deux frères et sœurs plus âgés (l’un d’eux est mort avant sa naissance), deux frères et sœurs plus jeunes.
Relation d’Eugène François Vidocq : femme, épouse, compagnon, copine et enfants
Il n’y a pas beaucoup de détails sur sa relation
Années d’errance et de prison (1795-1800)
Vidocq ne fait pas partie de l’armée longtemps.À l’automne de 1794, il passe la plus grande partie de son temps à Bruxelles, qui est alors une cachette pour les arnaqueurs de toutes sortes.Maintenant, il se nourrit de petites escroqueries.Un jour, il a été arrêté par la police, et en tant que déserteur, il n’avait aucun document valable.Lorsqu’on lui a demandé son identité, il s’est décrit comme étant M.Rousseau de Lille et s’est évadé alors que la police essayait de confirmer sa déclaration.
En 1795, toujours sous le pseudonyme de Rousseau, il intègre l’armée mobile (« armée volante »).Cette armée était formée de « officiers » qui en fait n’avaient pas de commissions ou de régiments.C’étaient des pillards, ils traçaient les routes, les lignes, les uniformes, mais ils s’éloignaient des champs de bataille.Vidocq a commencé en tant que lieutenant de chasse, mais est rapidement devenu capitaine d’un hussard.A ce titre, il fit la connaissance d’une riche veuve à Bruxelles [n 4] qui s’attacha à lui.Un complice de Vidocq la convainquit que Vidocq était un jeune noble en cavale en raison de la Révolution française.Peu avant de se marier, Vidocq s’est confessé à lui.Puis il quitta la ville, mais non sans un don financier généreux de sa part.
Le redressement (1800-1811)
Vidocq retourna à Arras dans les années 1800. Son père étant mort en 1799, il s’est caché dans la maison de sa mère pendant près d’un semestre avant d’être reconnu et a dû fuir à nouveau. Il a assumé l’identité d’un Autrichien et a passé un certain temps dans une relation avec une veuve, avec qui il s’est établi à Rouen en 1802. Vidocq se bâtit une réputation d’homme d’affaires et se sentit enfin assez en sécurité pour laisser sa mère venir vivre avec lui et la veuve ; mais finalement, son passé le rattrapa.
Il a été arrêté puis emmené à Louvres. Là, il a appris qu’il avait été condamné à mort par contumace. Grâce à l’aide du procureur général local, Ransom, il a fait appel et a passé les cinq mois suivants en prison en attendant un nouveau procès. Pendant ce temps, Louise Chevalier a communiqué avec lui pour lui faire part de leur divorce. Lorsqu’il est apparu qu’il n’y aurait aucune décision concernant sa sentence, il a décidé de s’enfuir à nouveau. Le 28 novembre 1805, sans surveillance pendant un certain temps, il sauta à travers une fenêtre dans la rivière Scarpe voisine. Durant les quatre années suivantes, il était toujours en fuite.
The Sûreté (1811–1832)
À la fin de 1811, Vidocq met officiellement sur pied une unité en civil, la Brigade de la Sûreté (« Brigade de sécurité »). Le département de police a reconnu la valeur de ces agents civils, et en Octobre 1812, l’expérience a été officiellement converti en une unité de police de sécurité sous la préfecture de police. Vidocq a été nommé directeur. Le 17 décembre 1813, l’empereur Napoléon Ier signe un décret faisant de la brigade une force de police nationale.Depuis ce jour-là, cela a été appelé la sécurité nationale.