Barbara Lefebvre est une enseignante et essayiste française. Elle intervient sur l’égalitarisme, l’antisémitisme, la laïcité, le rôle de l’école. On dit qu’elle est proche de la droite conservatrice.
Wikipédia, biographie de Barbara Lefebvre
Origine
Barbara Lefebvre vient de Paris, en France.
Dans le cadre de son enseignement supérieur en histoire à Paris 1 Panthéon-Sorbonne de 1994 à 1996, son objet d’étude porte sur la période pré-coloniale et les débuts de la colonisation au Soudan Occidental (actuel Mali). Ses recherches s’intéressent à la figure de Mademba Sy, roi de Sansanding, puis aux processus d’ethnicisation dans l’ouest du Soudan au début de la période coloniale.
Elle a vécu pendant un an à l’Université hébraïque de Jérusalem dans le milieu des années 1990 2. Le 21 août 1995, le bus qui l’a précédée a été explosé par une bombe, et plusieurs de ses élèves sont morts.
Apparence physique, taille, âge de Barbara Lefebvre
Barbara Lefebvre taille
Sa taille est de 1,63 mètre. Son poids s’élève à 56 kg.
Barbara Lefebvre âge
Barbara Lefebvre voit le jour le 15 janvier 1972. Aujourd’hui, elle est âgée de 51 ans (en 2023). Son signe astrologique est le Capricorne.
Barbara Lefebvre apparence physique
Ses yeux sont châtains. La coloration des cheveux est marron.

Famille, ethnicité et relations de Barbara Lefebvre
Famille – parents, frères et sœurs
Barbara Lefebvre a grandi au sein d’une famille française.
Relation de Barbara Lefebvre : mari, épouse, compagnon, copain et enfants
On n’a pas d’information sur la relation de Barbara Lefebvre.
Carrière
Elle est professeure d’histoire et de géographie à l’école secondaire en 1998.
Barbara Lefebvre possède un master en lettres modernes sur Gustave Flaubert (Paris Sorbonne Nouvelle, 2001).
Enseignante dans un collège de Colombes, elle a été marquée par les cris de joie dans son collège et dans la ville lors des attaques du 11 septembre 2001.
En 2004, elle a rejoint le LICRA où elle coprésidait la Commission de l’éducation avec Alain Seksig.Elle restera un membre actif de l’exécutif jusqu’à sa démission suite à l’élection d’Alain Jakubowicz comme chef de l’organisation en janvier 2010 et entre décembre 2008 et août 2011, elle est nommée au Conseil suprême pour l’intégration et membre de la mission laïque du Conseil suprême pour l’intégration.
Depuis 2014, elle est aussi enseignante-spécialisée (titulaire d’un master 2 ; sa recherche a porté sur les conditions de scolarisation en milieu ordinaire des élèves avec des troubles du spectre autistique).
Depuis juin 2017, elle assure la présidence de l’association Voir et Dire ce que l’on voit qui dénonce la judiciarisation du débat d’idées en France.Cette association est née de la poursuite engagée contre l’historien Georges Bensoussan par le Collectif contre l’islamophobie en France.

Présence dans les médias et analyses
De 2006 à 2009, elle a fait partie du comité éditorial du mensuel Le Meilleur des mondes (édité par Denoël).De 2006 à 2010, elle a été membre du comité éditorial du journal Controverses, dirigé par Shmuel Trigano.
Elle publie de nombreux articles dans la presse de droite française (Le Figaro, Causeur, Valeurs Actuelles)5 sur la question éducative et éducative, l’anti-sémitisme, la défense de la laïcité républicaine.
Prises de position et engagements
Le 6 juin 2017, elle a signé l’appel de 17 intellectuels qui demandent que la vérité soit dite au sujet du meurtre de Sarah Halimi. Au mois d’avril 2018, elle a signé le « manifeste contre le nouvel antisémitisme » publié dans Le Parisien.
Ouvrages
- 2002 : Les Territoires perdus de la République
- 2005 : Élèves sous influence

- 2007 : Comprendre les génocides du 20e siècle. Comparer-enseigner
- 2008 : L’Image des Juifs dans l’enseignement scolaire
- 2017 : Une France soumise. Les voix du refus

- 2018 : Génération « J’ai le droit » : La faillite de notre éducation
- 2019 : C’est ça la France… : Qu’a-t-on fait pour mériter ça ?
