Astrid Panosyan-Bouvet est une cheffe d’entreprise et femme politique française, ancienne conseillère d’Emmanuel Macron et députée depuis juin 2022.
Wikipédia, biographie d’Astrid Panosyan-Bouvet
Origine
Astrid Panosyan-Bouvet est originaire de Paris, en France.
Astrid Panosyan est titulaire de diplômes de l’École des hautes études commerciales de Paris (HEC), de l’Institut d’études politiques (Sciences Po) de Paris et de l’École de gouvernement Kennedy de Harvard.
De 1994 à 1997, elle a débuté sa carrière privée à titre de consultante auprès d’AT Kearney. De 1998 à 2001, elle a travaillé dans le département Stratégie puis dans le département Asie-Pacifique Business Support & Development du GIE d’Axa.
De 2002 à 2015, elle a également travaillé chez Groupama. Dans un premier temps, et jusqu’en 2007, au sein des équipes de la direction générale internationale, devient ensuite responsable des interventions stratégiques dans la gestion financière de Groupama.
En 2009, elle est nommée Directeur Général de Groupama et entre en fonction comme Secrétaire Général du Groupe en 2011.
Astrid Panosyan occupe le poste de directrice générale d’Unibail-Rodamco depuis 2015.
Apparence physique, taille, âge d’Astrid Panosyan-Bouvet
Astrid Panosyan-Bouvet taille
On n’a pas d’information sur sa taille
Astrid Panosyan-Bouvet âge
Elle est née le 13 août 1971 – Lion
Astrid Panosyan-Bouvet apparence physique
Ses cheveux sont blonds et ses yeux sont marrons

Famille, ethnicité et relations d’Astrid Panosyan-Bouvet
Famille – parents, frères et sœurs
Relation d’Astrid Panosyan-Bouvet : mari, épouse, compagnon, copain et enfants
Astrid Panosyan-Bouvet (Épouse de Laurent Bouvet)
Elle est veuve de Laurent Bouvet professeur de science politique à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
Parcours politique
Débuts au Parti Socialiste
En mars 2001, elle est élue conseillère municipale dans le 9ème arrondissement de Paris, sous le label du Parti socialiste, puis proche des milieux Strauss-Kahnian.
Sociale-démocrate et libérale, elle quitte le PS au milieu des années 2000, déçue par l’incapacité du PS à reconnaître en public la nécessité de produire des richesses et de croire en l’entreprise
Co-fondatrice d’En Marche avec Emmanuel Macron
Astrid Panosyan-Bouvet a rejoint, en 2014, le cabinet d’Emmanuel Macron, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Digital, comme conseiller en charge de l’attractivité économique et de l’investissement international. Elle intervient notamment en qualité de conseillère dans les échanges entre Emmanuel Macron et Uber révélés dans Uber Files.
Cofondatrice d’En marche ! En 2016, elle a conseillé le candidat Emmanuel Macron dans le domaine de la santé au cours de sa campagne.
Elle est, entre le 17 août et le 18 novembre 2017, l’un des 3 membres de la direction collégiale transitoire du parti politique La République en marche, aux côtés d’Arnaud Leroy et de Bariza Khiari.
Elle occupe depuis début 2018 le poste de déléguée LREM aux actions internationales, faisant partie de la dizaine de délégués thématiques ou « opérationnels » du parti.
Selon Édouard Philippe, avec qui elle a partagé les bancs de Sciences Po, son entrée au gouvernement a été envisagée à plusieurs reprises sous le premier quinquennat d’Emmanuel
Macron

Dans la perspective des élections législatives de 2022 à Paris, elle est nommée candidate pour Ensemble ! Présidence majoritaire dans la quatrième circonscription parisienne le 5 mai 2022. Lors de sa campagne, elle est épaulée par Édouard Philippe, Bruno Le Maire, Gérald Darmanin16, Amélie Oudéa-Castéra et Gabriel Attal. Dans l’entre-deux tours, elle rencontre Nicolas Sarkozy, ce qui provoque la fureur dans l’entourage de la députée LR sortante Brigitte Kuster. Au premier tour, elle a pris la première place, devant elle, avec 41,03% des suffrages, et a remporté le deuxième tour avec 55,45% des suffrages.
Elle fait partie du Comité des affaires sociales de l’Assemblée nationale et se joint au Groupe Renaissance. Elle est notamment responsable de texte pour son groupe sur le projet de loi de réforme de l’assurance chômage, qu’elle défend comme « un texte nécessaire, efficace et juste ». Lors du débat sur ce projet de loi, elle est sanctionnée par la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet pour avoir qualifié le Rassemblement national de « xénophobe ». Elle maintient malgré tout ses propos, et de nombreux députés de la majorité et de la gauche lui apportent leur soutien face à cette sanction extrêmement critiquée, estimant que cela relevait de la « qualification politique »